Au 68 rue de Rivoli, une plaque signale que c'est à cet endroit que le 26 août 1944, Joseph Ott, trompette de la fanfare de cavalerie de la garde républicaine a sonné le cessez-le-deu des combats de la Libération de Paris.
Cette plaque est assez récente. Elle n'existait pas quand j'avais écrit il y a 10 ans un article à propos d'une carte postale où on voyait cet immeuble (article du 14 mai 2013) :
La plaque a en effet posée suite à une décision votée par le Conseil de Paris en 2017 :
En écrivant cet article, les portes étant ouvertes, j'en ai profité pour faire une intéressante visite. Le porche tout d'abord est superbe :
Il s'agit de bas relief dans un goût antique avec ce décor sur la droite:
Au centre, une frise montre des scènes de combat dans un goût hellénistique :et des cartouches de part et d'autre :sur le côté opposé, on retrouve la même disposition mais sans thème belliqueux :
Ce porche mène vers une grande cour :
au fond de cette cour, sur la gauche, on peut prendre un passage :Il mène vers une 2e cour :
on peut alors sur la droite, traverser un autre porche :
et on peut encore passer sur la droite à un nouveau couloir :Cela permet de découvrir une dernière cour non moins charmante :
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