mardi 26 décembre 2017

MCMXXXVII : les statues de la Tour Saint-Jacques : Saint Georges

 


Pendant plusieurs années, j'ai fait une série consacrée aux statues qui ornent la façade de l'Hôtel de Ville. Après avoir fait le tour des quatre façades, je me décide à faire une nouvelle saga consacrée cette fois aux statues que l'on peut voir sur la Tour Saint-Jacques.

Au 3e niveau, on peut voir en effet, un grand nombre de statues qui représentent des saints. Sur la face sud (celle tournée vers le square et l'avenue Victoria, on peut voir Saint-Georges :

Au pied du chevalier qui tient fièrement son épée, on peut voir le dragon terrassé :


Cette statue -comme toute celles qui ornent la Tour Saint-Jacques- date de la restauration de la tour au milieu du XIXe siècle. Elle est une oeuvre de Hugues Protat, un sculpteur mal connu, qui a été nommé professeur à l'école des Beaux Arts en 1855 (d'après le site Victorianweb.com)

D'après la Légende dorée, Saint Georges était un chevalier romain de la fin du IIIe siècle. Originaire de Cappadoce (en actuelle Turquie), il aurait réussi à terrasser un dragon qui terrorisait la ville de Silène en Libye afin de finir décapité pour sa foi le 23 avril 303 (après avoir survécu à de nombreux supplices).

samedi 23 décembre 2017

MCMXXXVI : Une superbe crèche de Noël à Notre-Dame cette année

 

Voici un autre article que je fais chaque année en cette période : celui consacré à la crèche de Noël de la cathédrale Notre-Dame de Paris. La version de cette année est vraiment très belle : il s'agit comme les années précédentes d'une crèche provençale mais -et c'est la 1ère fois depuis que je fais cet article depuis 2008- dans la présentation de cette année, elle est sur un plateau dont les visiteurs peuvent faire le tour pour
les différents personnages.

On y trouve bien sûr le lieu où se déroule la Nativité :

mais aussi tout un village provençal avec son église :

mais aussi de nombreux personnages comme par exemple, la marchande de primeurs :

des bucherons :

et un villageois qui fait une petite pause pendant son shopping :



 

 

mercredi 20 décembre 2017

MCMXXXV : Une bonne idée cadeau pour pouvoir souhaiter une bonne santé à vos proches en 2018

 

Voici une idée cadeau pour la fin d'année. Ce livre "Votre santé est entre vos mains" a été écrit par une habitante "historique" du 4e arrondissement, mon amie Martine. Vous y trouverez de précieux conseils pour vous et ceux que vous aimez afin que tous restent en bonne forme. Une idée cadeau idéale pour souhaiter une bonne santé à vos proches.

Je suis très content d'avoir pu poser aux côtés de l'auteure lors d'une soirée dédicace organisée vendredi dernier par l'Association dont je suis président "Le 4e au coeur" :


 

dimanche 17 décembre 2017

MCMXXXIV : le retour d'un sapin de Noël sur le parvis de Notre-Dame

  

Après deux ans d'absence, le parvis de la cathédrale Notre-Dame a retrouvé un sapin. C'est un réelle réussite (surtout que pour le reste, une grande partie du 4e arrondissement est bien triste pour ce Noël 2017).

dimanche 3 décembre 2017

MCMXXXI : Les façades d'immeuble de Paris Centre : Une façade de la fin du XIXe siècle au 38 quai d'Orléans

  

Le quai d'Orléans dans sa partie qui fait face à la rive gauche et à la Cathédrale Notre-Dame de Paris est un des lieux que j'apprécie tout particulièrement dans le 4e arrondissement. Cet article concerne l'immeuble situé au n°38.


Cet immeuble qui a été construit en 1897 comme en atteste l'inscription que l'on voit sur la façade :

Grâce au site qui recense les permis de construire à Paris entre 1879 et 1939, on apprend qu'un premier permis a été déposé en 1878 avec pour propriétaire un dénommé Deyrolle qui habitait rue de la Monnaie et comme architecte du nom de Camut domicilié 6 rue Ventadour. Un nouveau permis de construire a ét déposé par l'architecte Auguste Castelin* (73 boulevard Beaumarchais, Paris 3e) le 15 décembre 1896 mais avec un nouveau propriétaire, Lecardeur père (76 rue de Patay).

Cette façade est assez particulière quand on la regarde de près :

-  La porte cochère est en effet particulièrement importante et elle est décalée sur le côté gauche. Du coup l'architecte a pris de le parti de la surmonter par un corps avancé qui comporte deux élégantes colonnettes :

La porte cochère est en effet particulièrement imposante et elle est décalée sur le côté gauche. Du coup l'architecte a pris de le parti de la surmonter par un corps avancé qui comporte deux élégantes colonnettes :

Pour le reste, cette façade, comme c'était le goût dans les deux dernières décennies du XIXe siècle est assez sobre et s'inscrit dans un nouveau revival du classicisme avec des ferronneries et un décor qui ne donnent pas dans l'excès.

La façade est ponctuée d'un décor végétal et de coquillages, un élément décoratif très largement réutilisé pendant tout le XIXe siècle. On peut le voir dans une des consoles du balcon ci-dessous :

 

 * On doit aussi à cet architecte d'autres immeubles de Paris :

- 87 boulevard Beaumarchais (Paris 3e)

- 20 rue Perrée (Paris 3e)

- 16 rue du Petit Musc (Paris 4e)

- 5 rue de Valencienne (Paris 10e)

- 5 rue Abel (Paris 12e)

- 116 boulevard de Belleville (Paris 20e)

- au 5 rue Abel dans le 12e arrondissement.

jeudi 23 novembre 2017

MCMXXVIII : Ariel Weill a été élu maire du 4e aujourd'hui

  

L'élection du nouveau maire du 4e arrondissement a enfin pu se tenir cet après-midi à 17h30. Trois candidats de la majorité municipale s'opposait : Ariel Weill (PS), Marianne de Chambrun (PS) et Anne Lebreton (LREM).

De nombreux élus ont rendu hommage à Julien Landel, le 1er adjoint sortant, qui pour des raisons familiales ne pouvait pas se présenter comme maire. Je tiens moi aussi à lui témoigner ma reconnaissance.

Vincent Roger (LR) a refusé de prendre part au vote en refusant de participer à la "foire d'empoigne de la majorité municipale". Jean-Pierre Plonquet (UDI) a annoncé qu'il votait pour Anne Lebreton dans le cadre de la recomposition des forces politiques. Au final, Ariel Weil a obtenu 6 voix, Anne Lebreton 3 voix et Marianne de Chambrun : 2 voix.

Christophe Girard avait initialement annoncé sa volonté de soutenir Marianne de Chambrun mais donc finalement, c'est le choix de la maire de Paris Anne Hidalgo qui a prévalu.

Le nouvel exécutif est composé ainsi :

  • 1ère adjointe : Evelyne ZARKA (PCF)
  • Adjoints : Corine Faugeron (EELV), Boniface N'Cho (EELV), Anne Lebreton (LREM), Chistophe Girard (PS).

Anne Lebreton a pris la parole pour regretter que le 4e arrondissement ait une première adjointe communiste alors que le PCF n'y obtient que 2% des voix (sans pour autant contester les qualités personnelles de Mme Zarka). La répartition n'a été validée que par 6 élus (si j'ai bien entendu le décompte).

Je souhaite bien sûr une bonne réussite au nouveau maire qui va notamment devoir s'intéresser à la fusion entre les 4 arrondissements pour la mise en place de la mairie centrale en 2020 (ou 2021).

mercredi 15 novembre 2017

MCMXXV : Hommage à Pierre Colboc

Pierre Colboc lors de la présentation du projet d'aménagement de la place Teilhard de Chardin le 17 mai 2016

Lundi soir, au conseil d'arrondissement du 4e, le maire Christophe Girard et le chef de l'opposition municipale Vincent Roger ont rendu un hommage appuyé à Pierre Colboc décédé le 3 novembre dernier.

Je tenais à mon tour à saluer la mémoire ce grand monsieur qui est un des pères du magnifique réaménagement de la Gare d'Orsay devenue le superbe musée que l'on connaît dans les années 1980.

 
La nef du musée d'Orsay

Dans le 4e arrondissement, il avait toujours montré sa volonté d'embellir différents espaces et de mettre en valeur le patrimoine. Je publie en tête de cet article la photographie que j'avais prise le 17 mai 2016 lors de la présentation des projets d'aménagement de la place Teilhard de Chardin avec la mise en valeur des fondations de l'enceinte de Charles V. Il n'aura malheureusement pas pu voir la mise en oeuvre.

Il avait aussi un très beau projet pour la place Saint-Gervais pour mettre en valeur la façade de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais mais malgré son énergie et son enthousiasme cet aménagement semble aussi très difficile à mettre en œuvre. 

En tant que responsable associatif, il m'était aussi arrivé de le rencontrer lors des Conseils d'arrondissement et des CICA du 4e puisqu'il était président de l'Association "Marais Quatre". Je tenais à témoigner de la sympathie tout particulièrement aux membres de cette association

samedi 4 novembre 2017

MCMXXII : Installation des statues des architectes Renzo Piano et Richard Rogers face au Centre Pompidou (dont ils ont dessiné les plans).

 

Depuis la mi-octobre, on peut voir place Edmond Michelet deux statues perchées sur des piédestaux métalliques. Les deux statues représentent Renzo Piano (assis) et Richard Rogers (debout), les deux architectes du Centre Pompidou.

Ces deux sculptures sont signées Xavier Veilhan et elles font face au Centre Pompidou :


Cette réalisation appelle de ma part deux commentaires :

  • Cette partie du 4e arrondissement renoue avec une pratique qui avait été courante dans les années 1970 : l'installation sur la voie publique de sculptures contemporaines (ou modernes). Je rappelle que c'est pour cette raison que tout près de là un restaurant s'appelle le "Chant des Voyelles" car il était installé tout près de la sculpture du même nom de Jacques Liptchitz (voir mon article du 29 novembre 2008).
  • Ces statues en métal cabossé m'ont rappelé celles que j'ai vu au mois de juin dernier dans les rues de Saulieu (la patrie du sculpteur Pompon). On peut y voir des animaux signés Richard Orlinski. Ce dernier et Xavier Veilhan semblent appartenir à la même école artistique. 
    Un lion par Richard Orlinski
     
    Une panthère par Richard Orlinski
     

dimanche 22 octobre 2017

MCMXIX : La Nef de Paris dans le 4e (26e volet) : deux versions différentes sur le tribunal de Commerce

 

Voici le 26e volet de la série sur les représentations de la nef de Paris dans le Centre de Paris. Il s'agit de deux version qui datent de Napoléon III et du préfet Haussmann. On les trouve en effet dans le décor du tribunal de commerce.

Il s'agit tout d'abord d'une version très classique sous la forme des armoiries :

On la retrouve en plusieurs exemplaires dans la partie supérieure de l'édifice. Cependant la version la plus étonnante apparaît dans les angles du bâtiment : la nef de Paris apparaît sous la forme d'une proue de galère romaine :

Pour voir ces nefs, le mieux est de se placer rue de Lutèce près de la préfecture de Police :

Dans la partie indiquée sur la photographie ci-dessus, on peut voir ce décor avec l'emplacement des nefs :


mercredi 18 octobre 2017

MCMXVIII : Un tableau de Meissonnier qui représente une barricade en juin 1848 rue de la Mortellerie, c'est-à-dire rue de l'Hôtel de Ville

  

Je visite très régulièrement le musée du Louvre et récemment mon attention a été attirée par ce petit tableau  d'Ernest Meissonnier exposé au Salon de 1850/1851. En effet, d'après le cartel, il représente une barricade rue de la Mortellerie en 1848 :


Il est toutefois intéressant de noter qu'en 1848, cette rue ne s'appelait plus la rue de la Mortellerie. En effet, comme je l'ai expliqué dans un article paru en 2014 (article du 21 octobre 2014), cette voie a changé de nom en 1835 car pour certains son nom faisait référence à l'épidémie de choléra qui avait sévi quelques années plus tôt (alors qu'en fait mortellerie faisait référence aux fabricants de mortier).  Elle s'appelle depuis la rue de l'Hôtel de Ville.

Ce changement de nom ne devait pas être complètement passé dans les usages puisque soit le peintre lui-même, soit ceux qui ont exposé ce tableau (soit d'autres encore) ont continué à donner ce com à cette voie au milieu du XIXe siècle. Dans la partie gauche du tableau, on voit des maisons anciennes dont certaines sont encore en partie visibles dans cette rue (mais beaucoup ont été été détruites car cette voie était très longue : elle partait de Saint-Gervais pour se prolonger jusqu'à l'Hôtel de Sens):

Peut-être le peintre a-t-il choisi de continuer à appeler cette voie la rue de la mortellerie en raison du carnage que l'on peut voir au 1er plan avec de nombreux cadavres qui apparaissent parmi les pavés :


 

jeudi 5 octobre 2017

MCMXIV : La restauration de la superbe verrière du lycée Sophie Germain


 Ce soir j'ai été heureux d'assister à la cérémonie qui marque la fin des travaux de rénovation des bâtiments (financés par la région). La verrière qui abrite la statue de Sophie Germain est superbe !

 

jeudi 28 septembre 2017

MCMXII : Deux autres oeuvres d'Eustache Le Sueur que l'on pouvait voir jadis dans le 4e arrondissement

 

J'ai consacré il y a quelques mois une série d'articles aux superbes peintures d'Eustache Le Sueur que l'on peut voir au Louvre et qui ornaient au XVIIe siècle l'Hôtel Lambert (articles du 26 novembre 2016 et du 20 décembre 2016).

En reparcourant l'aile sully du Louvre, j'ai regardé avec beaucoup d'intérêt ces deux autres œuvres d'Eustache Le Sueur que l'on pouvait aussi voir dans le 4e arrondissement jusqu'à la Révolution française. Il s'agit pour le tableau qui ouvre cet article de "Jésus portant la croix" et pour celui situé ci-dessous "La déposition de croix".


Ces deux œuvres datent de 1651. Elles ornaient une chapelle privée de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais : celle de la famille Le Roux (René Le Roux, le commanditaire  est décédé en 1674 et il avait été enterré dans cette chapelle privée).  A cette époque,cette église était la paroisse de nombreux notables très prestigieux.

Eustache Le Sueur est aujourd'hui un peintre trop peu connu qui été au XVIIe appelé le "Raphaël français". J'ai consacré en 2010 un article à la statue qui le représente sur la façade de l'Hôtel de Ville (article du 20 mai 2010).

 

mardi 19 septembre 2017

MCMIX : Rues de Paris Centre : La rue du Prévôt : une des rues les plus étroites de Paris qui rappelle que jusqu'au XVIIe siècle l'Hôtel du Prévôt était tout près

 

La rue du Prévôt est située entre la rue Saint-Antoine et la rue Charlemagne. Elle permet de se rendre compte de l'aspect que devait avoir certaines rues du centre de Paris avant les travaux de réaménagement d'Haussmann au XIXe siècle : en effet elle ne fait dans sa partie la plus étroite que 1,8m de large.


 Cette rue a pris le nom de "rue du Prévôt" en 1877.  Elle a eu auparavant plusieurs noms dont "rue percée" comme en atteste une plaque gravée qui date du XVIIIe siècle (les plaques gravées rendues obligatoires par le lieutenant général de police René Hérault en 1729 [voir article du 23 novembre 2011]) :

 Ce nom de rue du prévôt fait allusion au fait que l'on trouvait dans le pâté de maisons à l'Est (qui s'étend jusqu'à la rue Saint-Paul) l'Hôtel du Prévot comme on peut le voir sur le plan de Bâle des années 1550 :

Cet hôtel qui était la résidence officiel du prévôt de Paris (certainement jusqu'à l'achèvement de l'Hôtel de Ville au début du XVIIe siècle) était immense puiqu'on voit que sur la parcelle qu'il a libéré a été édifié -entre autre- le couvent Saint-Louis-des-Jésuites avec son immense chapelle (devenue depuis l'église Saint-Paul-Saint-Louis). On s'en rend compte en regardant le plan Turgot des années 1730 sur laquelle apparaît la rue du Prévôt sous son nom de l'époque : la rue Percée.

 
 
Cette rue possède une partie un peu plus large dans sa partie médiane. Cela permet malheureusement des incivilités car loin des regards indiscrets certain(e)s transforment cet espace en urinoir. Malgré plusieurs tentatives de solution, notamment la végétalisation d'un des angles, le problème est loin d'être résolu si on en juge l'odeur du lieu qui contribue aussi à rappeler l'aspect "Vieux Paris" de cette voie.


vendredi 15 septembre 2017

MCMVIII : Une exposition photo à ne pas manquer à la mairie du 4e arrondissement à propos de l'horreur vécue par les Yézidis

 

Dans le cadre de la 2e biennale des photographes du monde arabe contemporain, on peut voir depuis cette semaine plusieurs expositions dans divers lieux du Centre de Paris.

Je tiens à signaler tout particulièrement celle que l'on peut voir dans la salle Jean Mouly de la mairie du 4e arrondissement :  une présentation des photographies prises par Michel Slomka sur le thème "Sinjar : naissance des fantômes". Un reportage qui présente de superbes prises de vue de cette région située aux confins de l'Irak et de la Syrie tout en prenant conscience de ce drame qu'ont vécu les membres de la minorité Yézidi à quelques milliers de kilomètres du 4e arrondissement. Avec cette continuelle interrogation. Comment des êtres humains peuvent-ils en arriver à faire subir ça à d'autres ?

Avec une note d'espoir malgré tout, puisque malgré toutes les horreurs, les victimes semblent prêtes à reprendre le dessus et à en croire en la vie... quand même.
 

dimanche 3 septembre 2017

MCMV : Un panneaux informatif sur l'Histoire de la rue Quincampoix aux XVIIe et XVIIIe siècles dans une partie de la rue qui n'en faisait pas partie avant 1851...

 

Rue Quincampoix, on peut lire une "pelle à tarte" très complète relative à ce qui s'est passé rue Quincampoix depuis le XIIIe siècle jusqu'aux événements de 1720 qui ont conduit à la faillite de Law dont le siège de la banque qui émettait la première monnaie papier en France était situé dans cette rue.

Ce panneau informatif est situé rue Quincampoix,  juste après l'angle avec la rue des Lombards : 

Cependant, si on regarde le plan Turgot des années 1730, on se rend compte que la voie qui correspondait à cet endroit s'appelait la rue des cinq diamants :

La rue Quincampoix ne commençait à cette époque que quelques centaines de mètres plus loin à partir de la rue Aubry le Boucher :

Ce n'est que par un décret de 1851 que la rue des Cinq diamants a été incorporée à la rue Quincampoix.

La pelle à tarte sur l'histoire de la rue Quincampoix du XIIIe au XVIIIe siècle n'est donc pas située dans un endroit qui faisait partie de la rue Quincampoix avant le milieu du XIXe siècle !